Nous avons tous eu le cas de la présentation que l'on prépare au dernier moment, sur notre portable, dans le TGV et qui lorsque nous arrivons en gare disparaît instantanément grâce à une fausse manipulation !
C’est le cas le plus évident, mais la télésauvegarde va beaucoup plus loin.
Elle permet de récupérer ses données en cas de perte, de les partager avec des collaborateurs et collègues, de synchroniser ses données entre plusieurs machines.
Pourquoi la télésauvegarde n’est-elle pas un réflexe ?
Les contraintes sont souvent nombreuses. Quels sont les volumes à sauvegarder ? Quelle est la fréquence de modification ? Quelles sont les types de fichiers et leurs disponibilités ? Quels sont leurs structures et les endroits où ils se trouvent sur vos disques durs ou répertoires ? Quelle est la consommation de bande passante ? Comment vais-je récupérer mes données ?
Bref, un vrai projet et pourtant des solutions simples existent.
Mais le frein le plus fort est … « je verrais cela plus tard » en fait quand ça sera trop tard ! Comme en France, sans obligation légale, rien ne se fait … la sauvegarde n'est pas une priorité.
Et pourtant le jour ou la question se pose, la valeur apparait.
Cette valeur peut être sentimentale (dans le cas de photos/films numériques) donc inestimable. Elle est stratégique et financières dans le cas d’une entreprise et de ses données. Pour estimer cette perte les questions à se poser sont :
- Combien de temps et d’argent me faut-il pour reconstituer ces données ?
- Quel est l’impact de cette perte sur mon activité ?
Comment choisir une solution ?
Nous avons vu les contraintes précédemment. Pour moi, le critère le plus important dans le choix d’une solution est l’automatisation de la tache de sauvegarde. Si je dois penser à mettre mes fichiers dans un répertoire, si je dois attendre une fin de transmission ou une période de sauvegarde … ça ne marchera jamais. Je ne vais pas y penser, ni avoir la patience, ni même imaginer qu’il faut subir la sauvegarde.
Il faut que le service soit automatique,
Le 2e point concerne l'offre commerciale. On doit savoir à l'avance combien la sauvegarde va nous coûter ! Alors certes on peut estimer les volumes, les croissances, ... mais très vite cela devient non maîtrisable. Il faut donc une offre forfaitaire quelque soit le volume ! C'est désormais possible.
En fait, aujourd'hui, pour quelques euros par mois, vous pouvez supprimer ce risque. Les vacances approchent. Pensez-y !
C’est le cas le plus évident, mais la télésauvegarde va beaucoup plus loin.
Elle permet de récupérer ses données en cas de perte, de les partager avec des collaborateurs et collègues, de synchroniser ses données entre plusieurs machines.
Pourquoi la télésauvegarde n’est-elle pas un réflexe ?
Les contraintes sont souvent nombreuses. Quels sont les volumes à sauvegarder ? Quelle est la fréquence de modification ? Quelles sont les types de fichiers et leurs disponibilités ? Quels sont leurs structures et les endroits où ils se trouvent sur vos disques durs ou répertoires ? Quelle est la consommation de bande passante ? Comment vais-je récupérer mes données ?
Bref, un vrai projet et pourtant des solutions simples existent.
Mais le frein le plus fort est … « je verrais cela plus tard » en fait quand ça sera trop tard ! Comme en France, sans obligation légale, rien ne se fait … la sauvegarde n'est pas une priorité.
Et pourtant le jour ou la question se pose, la valeur apparait.
Cette valeur peut être sentimentale (dans le cas de photos/films numériques) donc inestimable. Elle est stratégique et financières dans le cas d’une entreprise et de ses données. Pour estimer cette perte les questions à se poser sont :
- Combien de temps et d’argent me faut-il pour reconstituer ces données ?
- Quel est l’impact de cette perte sur mon activité ?
Comment choisir une solution ?
Nous avons vu les contraintes précédemment. Pour moi, le critère le plus important dans le choix d’une solution est l’automatisation de la tache de sauvegarde. Si je dois penser à mettre mes fichiers dans un répertoire, si je dois attendre une fin de transmission ou une période de sauvegarde … ça ne marchera jamais. Je ne vais pas y penser, ni avoir la patience, ni même imaginer qu’il faut subir la sauvegarde.
Il faut que le service soit automatique,
Le 2e point concerne l'offre commerciale. On doit savoir à l'avance combien la sauvegarde va nous coûter ! Alors certes on peut estimer les volumes, les croissances, ... mais très vite cela devient non maîtrisable. Il faut donc une offre forfaitaire quelque soit le volume ! C'est désormais possible.
En fait, aujourd'hui, pour quelques euros par mois, vous pouvez supprimer ce risque. Les vacances approchent. Pensez-y !